… ou Christine l’infatigable!
App’lez-moi Christine, ap’plez-moi Christine,
Mon domaine c’est le rallye.
En 1978 (1) et 79 (2), nous, amoureux de la firme aux quatre anneaux, savons que le projet, code « A1 » (puis rebaptisé pas plus poétiquement «EA262») est en route et que de lui va naître la fabuleuse Ur quattro (Ur= « original » en Allemand).
Audi ne cherche alors pas à faire un coup commercial mais a l’intention de se révéler en créant l’arme ultime pour vaincre en rallye.
La firme, forte de la réunion des quatre producteurs que furent Wanderer, Horch, DKW et Audi (…et, plus tard, NSU), a un passé glorieux… Elle cherche désormais un présent.
On sait que ce présent sera un futur car la Ur quattro, née pour être une bête de scène, (ce qu’elle sera), deviendra un succès commercial sans pareil dans le domaine des voitures de Grand Tourisme, et qui retentit encore à ce jour.
Forte de deux titres « Pilote » pour respectivement Mikkola (1983) et Blomqvist (1984), d’un titre de Vice-Champion (championne devrai-je dire) pour Michèle Mouton (1982) et de deux titres Mondiaux de Constructeur (1982 et 1984), deux fois Vice-Champion des Constructeurs (1983 et 1985), la Ur quattro répond à toutes les attentes, et même plus, lorsque Audi se met à en vendre presque 12.000, alors que ce véhicule coûte 30% plus cher qu’une Porsche 911.
En 1978 et 79, en Belgique, M. Mal-Voy est alors président du club VW-Belgium. Ce club veut d’emblée inciter à la compétition. Il n’hésite donc pas à sponsoriser pour motiver des éventuels futurs talents. C’est facile à écrire, mais à faire, c’est une autre paire de manches.
Créer un club, ce n’est déjà pas mal, mais qu’il devienne un mécène pour certains pilotes, c’est un réel défit. Vu le rapprochement entre les firmes VW et Audi, M. Mal-Voy sent venir le vent du Sport pour la firme aux quatre anneaux. Il le sent d’autant plus qu’à l’époque, il assiste à maintes réunions organisées par « Audi Sport ». Indéniablement, il se passe quelque chose et le projet de la quattro commence à se faire connaître.
Alors que la Ur quattro sort au salon de Genève en mars 1980, M. Mal-Voy lance le BELGIAN AUDI CLUB (Il était alors installé rue Blanche, à Bruxelles, à l’heure actuelle, il s’établit sur l’avenue Brugman). Le moment pour une telle création est particulièrement bien choisi car la quattro se révèle rapidement une bête terriblement efficace et sa voie fera ricochet sur toute la firme aux quatre anneaux.
M. Mal-Voy rêve alors d’un projet fou! Bien que la quattro n’en est qu’à ses débuts, que nos pilotes restent tous en propulsion ou en traction, le président du B A C lance l’idée de mettre, pour la toute première fois, sur nos routes belges, une Ur quattro de rallye et ce, dans les mains d’un pilote belge. Désormais, il a pour but de trouver le budget et le pilote.
A cette époque, la Belgique est précisément prometteuse en talents… avec Sneyers (qui deviendra Champion de Belgique 1983, 85,…), Munster, Vandewauwer, Droggmans (Vice-Champion de Belgique 1983 et Champion d’Europe en 1990), Reginster, Lareppe (4ème dans le championnat 83), Thiry, Dumont, Duez, etc… La manne en foisonne.
Il ne s’agit donc plus là de « coup de pouce » à donner à un pilote mais d’une révolution à mettre en place. Jugez plutôt: le sponsoring doit atteindre 11 millions de Francs Belges (=275.000 euros) et non pas pour une saison complète… mais pour faire les cinq grands rallyes de l’année. C’est tout de même, une grosse, une très grosse affaire à monter pour l’époque.
Les débuts en sont d’ailleurs très chaotiques car ce club est fort seul dans le montage de l’opération. Tout est à faire, tout est à trouver. M. Mal-Voy compte alors sur la firme D’ieteren (entre autre, importateur belge d’Audi), mais, au sein de cette dernière, on est encore très peu convaincu du sport automobile en tant qu’opération marketing.
A C B aborde alors les deux gros cigarettiers du pays; à savoir les firmes BASTOS et BELGA. Ce sont de gros sponsors tous les deux. M. Mal-Voy se tourne finalement vers BELGA, car la firme patronne son pilote fétiche: Marc Duez. Tout jeune et déjà plein de talent, il sort d’une saison en Porsche 911 SC préparée chez Gaban et en sort couronné du titre de Champion de Belgique (1982).
Audi Sport soutient également le projet… Castrol s’intéresse aussi à l’affaire et dès ce moment, M. Mal-Voy a déjà réuni les 85% du budget. C’est bien mais encore trop peu. Il fait alors le forcing auprès de la firme D’ieteren. Il se souvient encore aujourd’hui du jour où il fut convoqué pour présenter son projet. Jamais auparavant un tel projet n’était venu aux oreilles des responsables marketing de la firme. On accepte de lui consacrer un quart d’heure pour présenter l’affaire et c’est n’est qu’une heure après qu’il reçoit une réponse… Malheureusement négative, de la part du responsable marketing. Heureusement, quelques secondes après, Roland D’ieteren en personne, présent à la réunion, contredit cet avis et donne la décision positive et suprême.
Le budget est donc bouclé! Comme il s’agit d’une auto client, l’usine Audi confie le projet à Konrad Schmidt de Nürenberg (Seckendorfer Strasse 4, D-90556 Cadolzburg). C’est donc lui qui choisit et monte l’auto… Mais le temps presse. Le projet belge est de mettre l’auto sur les routes de Spa. Il ne reste donc que l’hiver pour se préparer.
Konrad Schmidt part alors d’une auto ayant déjà fait ses preuves et il sort de ses cartons la Ur Quattro Gpe 4 (aux couleurs «Sachs-Votex-Audi») de Harald Demuth, qui remporta le championnat d’Allemagne en 1982. Cette auto a donc déjà un lourd passé, mais très envié puisque sur 11 rallyes, elle en a gagné 7, pour finir couronnée.
Cette auto avait été commandée à l’initiative de Audi Sport. Le châssis fut fournit par la firme mère pour être renforcé et équipé chez Matter. Sous le capot, du côté droit, on peut lire «R23», son identification spécifique et dont le «R» n’est applicable qu’aux châssis d’Audi Sport.
Fin 1982, il est décidé de démonter l’auto pour la passer en configuration type A2 et ainsi lui donner un nouveau souffle. Voilà donc une belle occasion pour elle de, peut-être, encore triompher!
Fin janvier, l’auto est à peine prête et repeinte fraîchement aux couleurs Belga que Marc Duez et Willy Lux, son copilote désigné, sont invités à la voir et l’essayer. L’essai est cependant de très courte durée car l’équipage ne peut se permettre que de faire le tour de l’usine. Tout n’est décidément pas prêt! Imaginez que si à l’heure actuelle, on ne peut concevoir des essais que par centaines de kilomètres, ce sera pour Marc Duez le seul essai avant le rallye même. Un seul petit tour de l’usine pour se faire une impression sur une nouvelle auto, sur une nouvelle technologie, sur un nouveau principe de pilotage, c’est très, très peu!!!
Quelques jours plus tard, c’est le grand jour : Toute l’équipe est à Spa et enfin, la belle arrive. Revêtue de sa robe rouge (Ral 3000) et blanche, Marc Duez s’y glisse pour la deuxième fois et l’emmène dans un « tour du quartier » assez musclé. De retour, il prend avec lui M. Mal-Voy pour un second tour et ce dernier se souvient encore aujourd’hui combien le décor défilait à des allures invraisemblables. Si Marc ne connaissait pas encore l’auto, au moins, elle lui inspirait confiance.
Sans grands préparatifs donc, … La quattro est lancée dans la ronde. Marc fait un début prudent. C’est sur le rallye même qu’il entre progressivement dans l’apprentissage du pilotage différent que requiert la quattro et… de surcroît sur la neige.
Au fil des étapes spéciales, Marc s’y accoutume à merveille. Les capacités de l’auto et le talent de Marc et Willy permettront un écolage rapide et c’est le boum, car ils vivent victoires d’étape sur victoires.
Plaes, un concurrent sur Fiat Ritmo, eut l’occasion de demander à Marc s’il avait trouvé le mode d’emploi et notre grand ami, de son d’humour accoutumé, répondit qu’il était dans la boîte à gant !
Au total, la quattro aligna 35 victoires de spéciales sur 48… et sans une éraflure sur la belle.
En février 83, le pari est donc gagné, et de belle manière car, pour sa première participation sur le territoire belge, la quattro met 10 minutes sur le brillant second que sera Tony Pond (Nissan 240RS). Derrière,… Colsoul (Opel Ascona 400) monte sur la troisième marche du podium et Sneyers (Porsche 911 SC) y termine au pied.
Au lendemain d’une saison 1982 formidable, pour cette quattro, et de la victoire aux boucles de Spa 83, les mécaniciens qui lui étaient attachés, se prennent d’affection pour cette auto si courageuse et qui reste au top niveau malgré l’enchaînement infernal des rallyes. Les mécanos la surnommeront alors « Christine », en rapport avec le film de John Howard Carpenter où la belle Plymouth Fury de 1958 est vivante et peut se régénérer elle-même, comme semble le faire notre quattro belge. Pour la petite histoire, le film Christine est lui aussi de 1983 !
De nos jours, il est rare qu’une saison s’envisage sur un seul châssis et ici, la brave quattro en est déjà à sa seconde, et toujours sur le devant de la scène… Et n’est pas au bout de ses peines !
Christine, appelons-là désormais ainsi, n’était destinée à la Belgique que pour un seul rallye. Konrad Schmid avait en effet imaginé la remettre directement sur les rallyes allemands, le temps de préparer une nouvelle BELGA pour les 4 rallyes restants et désignés pour la saison belge.
Avec cette autre «quattro Belga», l’équipage Duez-Lux fera l’Haspengouw rallye (mai 1983, victoire),
Ypres (en juin1983, 4ème),
le Hunsrück Rally en juillet 1983 (devenu le Deutchland Rally, abandon) et le Bianchi Rallye (abandon).
On le voit, le résultat est intéressant mais pas aussi probant qu’avec «Christine»… Aussi, retrouvons-la !
Toujours en 1983, c’est John Buffum (célèbre pilote anglais) qui prend son volant et ce, pour le Sachs Winter Rallye et là, notre quattro R23 coiffe à nouveau les lauriers.
Un peu plus tard, c’est Harald Demuth qui la reprend en main, au Westfalen Lippe, mais avec beaucoup moins de chance. Notre célèbre quattro sort violemment de la route. C’est une vraie catastrophe et Christine est alors remisée. Il semble bien, cette fois, que sa carrière soit terminée.
Le sort en sera cependant tout autre car Konrard Schmidt s’obstinera à la réparer. Le reste de l’année 1983 sera donc pour Christine une longue période de convalescence.
Nous voilà en 1984 et donc aussi incroyable que cela puisse paraître, cette fabuleuse quattro est encore lancée dans l’arène pour disputer une nouvelle fois le championnat d’Allemagne avec son premier pilote de prédilection: Harald Demuth. La quattro passablement belge garde quelque peu son accent car le copilote redevient le sympathique Willy Lux avec qui elle connut la victoire aux boucles de Spa.
L’auto retrouve alors ses couleurs Sachs-Votex et encore une fois la gloire ! En effet, Christine attaque la saison 84 en remportant d’affilée les trois premiers rallyes allemands. Elle est programmée pour 13 rallyes et… en remporte 9 !
La réussite est implacable, sans appel, sans concurrence et du haut de sa troisième saison, elle endosse encore une fois les palmes du championnat !
Cette fois, c’en est assez et, raisonnablement, enfin… Konrad Schmidt destine à l’équipage Demuth-Lux, une Quattro neuve et donc toute fraîche, pour une nouvelle saison allemande.
De son côté, Christine semble, cette fois, pouvoir dormir dans un coin du garage pour de bon.
Pour débuter l’année 1985, Konrad Schmidt a l’opportunité de descendre sur la Belgique et il se présente favori pour les Boucles de Spa avec la nouvelle quattro de Demuth (cette fois aux couleurs du sponsor SIV).
Schmidt se souvient cependant que Christine y fut victorieuse, il y a deux ans. Une idée le tente… Il contacte alors BELGA, le sponsor de l’époque. L’affaire se conclut et la brave Christine est dépoussiérée et repeinte aux couleurs belges. Bjorn Waldegaarde (champion du monde en 1979) est alors choisi pour la piloter. L’édition 85 des boucles de Spa voit donc deux quattro alignées par Konrard Schmidt.
L’Audi favorite est choyée et domine l’épreuve. La quattro BELGA est, quand à elle, appréciée par le public qui reconnaît, en elle, un cru mémorable. Le rallye est cependant à la faveur de la fraîche quattro d’Harald Demuth qui peut désormais gérer la fin du rallye qui lui est tout acquise. Le sort en décide cependant autrement car, sur la dernière spéciale, la quattro SIV connaît quelques problèmes. Dans le dernier tour,… C’est donc l’absolu miracle qui se produit car Christine reprend la tête et Waldegaarde, à son volant, remporte l’épreuve! L’incroyable s’est encore produit et tout le team est en délire !!!
De retour des boucles de Spa, on peut s’imaginer que cette fois, s’en est vraiment fini de cette quattro et que son repos est largement mérité… mais Konrad Schmidt est insatiable avec elle. Il trouve encore budgets et volontés pour ficeler une saison partielle.
Comme la Belgique semble réussir à Christine, il lui destine Marc Duez pour pilote.
L’auto est révisée et pour la quatrième année de suite, elle est remise sur piste.
Pour ce faire, la célèbre quattro R23 change encore de robe et arbore à nouveau les couleurs « Votex-Audi-Sachs ». Avec Marc Duez et Cantonati comme copilote, elle participe au « Sachs Winter Rally ». Elle y abandonne malheureusement. Deux mois plus tard, avec le même équipage, c’est la victoire qui l’attend au Metz Rallye… Quinze jours plus tard (quel rythme!), l’écurie tente le Vonderplarz Rallye, avec cette fois Willy Lux qui retrouve le baquet du copilote, et ce pour le restant de l’année. La courageuse quattro termine alors à la 4ème place au général.
Et le rythme fou se poursuit. On la retrouve encore trois semaines après, au Hessen Rally, mais là,… elle abandonne.
En juillet, la quattro est à engagée au Hunsrück Rally et Marc Duez parvient à encore hisser la R23 à la 4ème place. Décidément, elle ne démérite pas malgré ses souffrances !
Deux mois plus tard, par contre (au Saarland Rallye), l’Audi abandonnera et tristement… Christine connaît un début d’incendie qui va lui ravager l’arrière !
Sa folle histoire s’arrête donc là en 1985, alors que, dans tous les championnats, la concurrence s’est faite si forte.
Christine a décidément tout vécu : de l’apport, par Audi du système 4×4 en rallye, des concurrents qui se sont tous rapidement mis à l’oeuvre (Peugeot Turbo 16, Lancia Delta S4, RS 200 de Ford,…) et la page qui dut être tournée l’année suivante, avec le retrait de la plupart des groupes B.
Audi s’oriente alors vers les courses américaines et le Belgian Audi Club croit en un autre avenir: celui du circuit avec une Ur quattro, des 200, puis des V8… Mais ça, c’est une autre histoire.
Christine est donc une des seules Ur quattro à avoir connu toute l’épopée d’Audi en rallye du début jusqu’à la fin (enfin presque). 25 ans après ses premières Boucles de Spa, toute cette fabuleuse histoire revient un peu en nos mémoires et, une fois encore, on trouvera M. Mal-Voy comme l’instigateur de la résurrection de l’idée de réunir tous les acteurs de l’époque : Marc Duez, Willy Lux et une fameuse Ur quattro.
La suite, vous la connaissez : l’œuvre d’Alex, membre de notre club, pour trouver une quattro adaptée à ce rappel de la mémoire, l’organisation menée par notre club pour vivre le rallye en direct. Il reste à Marc Duez et Willy Lux à mettre la cerise sur le gâteau en gagnant cette édition historique 2008, mais nous le découvrirons ensemble, sur les bords de piste.
Mais dans tout cela, qu’est devenue Christine?
A la suite de son incendie partiel, la douleur fut sincèrement forte parmi les mécanos du Team. Konrard Schmidt accepta difficilement cette fin et… se la refusa. Christine fut alors démontée et entièrement restaurée.
Elle arbore maintenant fièrement les couleurs Audi-Sport d’où, en réalité, elle émane.
C’est sous cette digne robe qu’il sera enfin décidé que cette quattro en avait connu assez et qu’elle méritait le repos, après avoir donc vécu 34 rallyes dont 21 victoires et 3 secondes places.
Avec un tel résultat, sachez que cette quattro, à elle seule, a vécu, en rallyes nationaux, autant de victoires que toutes les quattro d’usines réunies, sur les rallyes internationaux.
Christine est encore visible à ce jour chez Konrad Schmidt et je ne doute pas, qu’un jour, une délégation de notre club y fera un périple…
Jacques Fiévez, Président du club Audi Heritage
PALMARES de Christine :
1982 :
Championnat d’Allemagne
-Sachs Winter Rallye Harald Demuth 7ème
-Rallye Trifels Harald Demuth victoire
-Saarland Rallye Harald Demuth victoire
-Metz Rallye Harald Demuth victoire
-Hessen Rallye Harald Demuth 2ème
-Vonderpfalz Rallye Harald Demuth victoire
-Hunsrück Rallye Harald Demuth victoire
-Reichstadt Rallye Harald Demuth victoire
-Sachs Rallye Harald Demuth victoireRésultat : « Christine » est Championne d’Allemagne.
Rallye Internationnal
-San Remo Rallye Harald Demuth abandon
-RAC Rallye Harald Demuth 5ème1983 :
Autres
-Boucles de Spa Marc Duez victoire
Championnat d’Allemagne
-Sachs Winter Rallye John Buffum victoire
-Westfalen Lippe Harald Demuth abandon1984 :
Championnat d’Allemagne
-Sachs Winter Rallye Harald Demuth victoire
-Rallye Trifels Harald Demuth victoire
-Saarland Rallye Harald Demuth victoire
-Vonderpfalz Rallye Harald Demuth 3ème
-Hessen Rallye Harald Demuth abandon
-Reichstadt Rallye Harald Demuth victoire
-Hunsrück Rallye Harald Demuth victoire
-Deutchland Rallye Harald Demuth 2ème
-Sachs Rallye Harald Demuth victoire
-3 Stadte Rallye Harald Demuth 2ème
-Rallye du Var Harald Demuth victoire
-Barum Rallye Harald Demuth victoire
-Tulpen Rallye Harald Demuth victoireRésultat : « Christine » est Championne d’Allemagne.
1985 :
Championnat d’Allemagne
-Sachs Winter Rallye Marc Duez abandon
-Metz Rallye Marc Duez victoire
-Vonderpfalz Rallye Marc Duez victoire
-Hessen Rallye Marc Duez abandon
-Hunsrück Rallye Marc Duez 4ème
-Deutchland Rallye Marc Duez abandonAutres
-Boucles de Spa B. Waldegaard victoire
SOURCES:
– archives du club Audi Heritage
– revues Turbo et Auto Hebdo d’époque
– sites internets :
http://www.Marc-duez.be/palmares.html
http://www.empire-auto.com
http://www.konradschmidt.de/
– archives du club « Audi belgium »
– visites et interview d’Alex Verstraete (notre membre) chez Harald Peelen, Patron chez Schmidt Motor Sport
– témoignages divers (voir remerciements)
REMERCIEMENTS:
à M. Mal-Voye, président du Belgian Audi Club, qui m’a consacré tant de temps et aidé dans mes recherches,
à Harald Peelen qui a repris la concession de Konrad Schmidt dont une antenne nommée « SMS Engineering » s’est destinée à la restauration d’anciennes Audi, comme l’Audi 80 Groupe 2 qui fut présentée à Essen en 2007,
à Alex Verstraete, pour ses recherches et ses déplacements sur place et ainsi m’avoir permis d’obtenir tant de détails sur Christine.
© AUDI-HERITAGE 2008
