Le Titien
Publié : 20 Jan 2009, 15:45
Pour moi, une voiture doit être rouge. Voilà pourquoi j’aime tant les Audi.
Mais il y a plein d’autres bonnes raisons : j’ai fait mes premiers tours de roues sur la coccinelle maternelle, dont j’ai d’ailleurs hérité alors qu’elle était déjà bien mûre. C’est ainsi que je pouvais voir les merveilleuses berlines et coupés aux quatre anneaux lors de mes fréquents passages chez le concessionnaire local.
Un jour, je me suis dit que je roulerais moi aussi avec un 5 cylindres.
Ce rêve est devenu réalité à Noël 1986 grâce à une des dernières 90 type 81 neuves, une traction 2.0 de 115 ch ; une grosse folie mais une voiture que je souhaitais garder « jusqu’à ce que la mort nous sépare ». Comme ni elle ni moi ne sommes morts à ce jour, c’est celle que beaucoup d’entre vous connaissent, photo d’époque :
En passant, sa couleur explique mon pseudo.
Pour tout vous dire, je suis plus berline que coupé, et les premiers 5 cylindres qui ont attiré mon attention chez Audi étaient ceux montés dans la 100 « carrée », connue parmi les aficionados sous le doux nom de type 43. Quand il en est passé une sur eBay, rouge de surcroît, je n’ai pas pu résister. La voici à-côté de ce qu'il reste d'une donneuse ramenée de Saarbrücken grâce à la complicité de Thierry.
Contrairement à une idée répandue, elle n’est pas rouge Titien mais rouge Indiana. Il est vrai qu’il faut un œil particulièrement exercé pour distinguer la nuance, ceci explique cela.
Pour moi, une Audi doit être telle qu’elle était dans la vitrine du concessionnaire alors qu’elle me faisait rêver au début des années 80. Le tuning, très peu pour moi. Seule exception : l’autoradio et les baffles sont des modèles actuels. J’aime avoir la musique qui va avec la voiture, et les progrès techniques sont tels que j’ai remisé mes bonnes vieilles cassettes au placard. Trans Europe Express de Kraftwerk sur CD dans la type 43, 13 minutes de bonheur sur les longues routes !
Et depuis septembre 2007, j’ai rejoint l’équipe du comité. Puisque je suis plus doué pour écrire que pour la mécanique, ma place était toute trouvée : secrétaire.
Mais il y a plein d’autres bonnes raisons : j’ai fait mes premiers tours de roues sur la coccinelle maternelle, dont j’ai d’ailleurs hérité alors qu’elle était déjà bien mûre. C’est ainsi que je pouvais voir les merveilleuses berlines et coupés aux quatre anneaux lors de mes fréquents passages chez le concessionnaire local.
Un jour, je me suis dit que je roulerais moi aussi avec un 5 cylindres.
Ce rêve est devenu réalité à Noël 1986 grâce à une des dernières 90 type 81 neuves, une traction 2.0 de 115 ch ; une grosse folie mais une voiture que je souhaitais garder « jusqu’à ce que la mort nous sépare ». Comme ni elle ni moi ne sommes morts à ce jour, c’est celle que beaucoup d’entre vous connaissent, photo d’époque :
En passant, sa couleur explique mon pseudo.
Pour tout vous dire, je suis plus berline que coupé, et les premiers 5 cylindres qui ont attiré mon attention chez Audi étaient ceux montés dans la 100 « carrée », connue parmi les aficionados sous le doux nom de type 43. Quand il en est passé une sur eBay, rouge de surcroît, je n’ai pas pu résister. La voici à-côté de ce qu'il reste d'une donneuse ramenée de Saarbrücken grâce à la complicité de Thierry.
Contrairement à une idée répandue, elle n’est pas rouge Titien mais rouge Indiana. Il est vrai qu’il faut un œil particulièrement exercé pour distinguer la nuance, ceci explique cela.
Pour moi, une Audi doit être telle qu’elle était dans la vitrine du concessionnaire alors qu’elle me faisait rêver au début des années 80. Le tuning, très peu pour moi. Seule exception : l’autoradio et les baffles sont des modèles actuels. J’aime avoir la musique qui va avec la voiture, et les progrès techniques sont tels que j’ai remisé mes bonnes vieilles cassettes au placard. Trans Europe Express de Kraftwerk sur CD dans la type 43, 13 minutes de bonheur sur les longues routes !
Et depuis septembre 2007, j’ai rejoint l’équipe du comité. Puisque je suis plus doué pour écrire que pour la mécanique, ma place était toute trouvée : secrétaire.